Le défi auquel je fais face étant la crainte de ne pas posséder les outils adéquats pour guider et encadrer les élèves, je crois qu'il va de soi que je m'interroge sur l'importance de développer les compétences des intervenants en éducation.
- Les leaders en la matière s'assurent-ils de la compétence de chacun des intervenants engagés pour travailler avec les enfants ?
- Est-ce qu'un intervenant « moyennement compétent » vaut mieux qu'aucun intervenant du tout ?
En réponse à la première question: je crois que j'irai m'informer auprès des cours et des programmes offerts dans les universités québécoises, surtout au niveau des cours d'administration de l'éducation !
En ce qui concerne la deuxième question, je ne sais pas s'il sera un jour possible de trouver une véritable réponse à cette question (scientifiquement parlant), mais à mon avis, si on considère qu'un enfant part à l'école chaque matin avec peu ou pas de ressources, il est clair que nous devons intervenir du mieux qu'on peut. À ce moment là, même ce peu d'attention pourrait amener une lueur d'espoir dans la vie de l'élève..